2017
En se promenant à la tombée de la nuit, on évite de se mouiller et on fait des rencontres. Bonsoir blaireau…
Un bouquetin massif sous le Pas de Berrièves. On a l’impression qu’il fait un clin d’oeil au photographe, non ? Ou alors le déclic l’a réveillé de sa sieste, et il a encore un oeil mi-clos.
Ces cornes immenses, cela peut paraître encombrant, mais pour se gratter le bas du dos c’est tout de même commode.
Et le regard attendri de Paul sur ceux qu’il appelle “mes petits merles”. Voir ici les mêmes il y a quelques semaines.